Home / Loi / « Justice : Un Féminicide et Une Perpétuité, Mais Le Mari de Chahinez Daoud N’est Toujours Pas Rassasié »

« Justice : Un Féminicide et Une Perpétuité, Mais Le Mari de Chahinez Daoud N’est Toujours Pas Rassasié »

Parlons d’une histoire qui ne cesse de faire les gros titres, celle de Mounir Boutaa, l’homme qui a eu le culot d’en appeler à la justice française malgré une sentence parlante en elle-même. Oui, il a vraiment eu l’audace d’interjeter appel après que la cour d’assises de la Gironde lui a imposé une peine d’emprisonnement à perpétuité pour le meurtre de son ancienne épouse, Chahinez Daoud. Déconcertant, n’est-ce pas ?

Le 28 mars dernier, Boutaa a été condamné à la perpétuité. Certains pourraient penser que c’est un jugement sévère, mais pour les personnes qui connaissent les détails sordides de l’affaire, c’est tout à fait justifié. Ce n’est pas tous les jours que l’on entend parler de maris qui incendient leurs ex-épouses, n’est-ce pas ? À mon avis, M. Boutaa est plus que chanceux d’avoir simplement reçu une peine de prison à perpétuité.

Et maintenant, il semblerait que M. Boutaa, toujours aussi sûr de lui, essaie de revenir sur son sort malgré ses actions brutales et révoltantes. Quel courage, n’est-ce pas ? Enfin, si vous pouvez appeler cela du courage. Il a décidé de porter sa cause devant une cour d’appel, manifestement insatisfait de la punition qui lui a été infligée pour avoir commis un acte aussi épouvantable. C’est une preuve de plus de son audace arrogante et de son manque de remords.

En réalité, l’histoire de M. Boutaa et de Mme Daoud est un reflet tragique d’un fléau qui continue à ravager la France : la violence conjugale. Et le fait que M. Boutaa, malgré sa culpabilité évidente, cherche à échapper à la justice est une insulte à toutes les victimes de violences conjugales.

Pour avoir suivi le procès de M. Boutaa, je peux dire une chose : que la justice ne manque pas de trancher avec sévérité et rigueur contre ceux qui bafouent les droits les plus élémentaires de l’humanité. Cependant, il semble que ce soit un concept difficile à comprendre pour ce monsieur.

Alors, M. Boutaa, continuez donc à faire appel. Continuez à vous lamenter sur votre sort. La vérité est que vous avez eu plus de miséricorde que vous ne méritez. Quant à nous, nous nous souviendrons toujours de Chahinez Daoud comme d’une femme qui n’a pas eu la chance de recevoir la justice qu’elle méritait de son vivant.

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