Ah, les quartiers connectés ! Ces lieux qui semblaient autrefois si courants avec leurs culs-de-sac animés, leurs enfants à vélos, leurs jardins parsemés de jeux, et les bavardages avec les voisins sur les porches. De nos jours, ces lieux semblent être une espèce en voie de disparition. Mais, une famille en Floride nous a rappelé que ces endroits existent encore.
Les Butan Fam, une famille de cinq personnes qui partagent leur vie quotidienne sur TikTok, ont partagé une vidéo qui a fait sourire le monde entier. La vidéo, filmée un dimanche ordinaire, capture un dîner en plein air animé par toute la rue. Cela a donné lieu à des sentiments nostalgiques chez de nombreux spectateurs, leur rappelant la convivialité des quartiers de leur enfance.
Dans la vidéo, la caméra balaye une rue pittoresque au crépuscule, révèle une scène idyllique de communauté : les papas et les mamans discutent gaiement, tandis qu’un père et ses enfants font des paniers de basket. Les enfants sont assis sur le trottoir, s’amusant à peindre sur des toiles. C’est comme si une émission de télévision de nos souvenirs d’enfance avait pris vie.
Les commentaires affluent, exprimant leur admiration et leur envie pour cette communauté chaleureuse. Certains ont même évoqué leur propre expérience. « C’est ce genre de quartier dont nous avons besoin dans toute l’Amérique », a déclaré l’un d’eux. Un autre a écrit : « J’ai grandi dans un quartier comme celui-ci. Les enfants traînaient ensemble, les parents s’entendaient bien, c’était l’une des meilleures périodes de ma vie ».
Face à tant de jalousie, une personne a souligné que le même sens de la communauté peut être trouvé si vous en prenez l’initiative. « Pour tous ceux qui regardent cela en souhaitant que ce soit eux… vous pourriez être le premier villageois. Le premier à organiser un barbecue. Le premier à installer le panier de basket dans la rue. Nous devons être individuellement responsables pour créer une communauté », ont-ils écrit.
C’est un rappel puissant que, bien que nous soyons souvent aspirés par nos écrans et nos agendas chargés, le tissu même de notre humanité se trouve dans ces moments de connexion simple et sans fioriture avec nos voisins. Et peut-être que si nous prenons l’initiative, nous pourrions tous vivre dans un « quartier de type 2003 », comme l’a dit un commentateur.